Un chirurgien dentiste algérien

Un chirurgien dentiste algérien tué en France: ce que l’on sait

Un chirurgien dentiste algérien a été sauvement tué en France. L’agression a été enregistrée dans la  nuit du samedi 20 mai au dimanche 21 mai à Paris. Que s’est-il donc passé? le récit du crime a été retracé par des sources médiatiques citant des proches de la victime et de leurs voisins. 

Répondant au nom de Rayane Lemmouchi, 25 ans, le chirurgien dentiste algérien est en fait originaire de Toulouse. Il était arrivé à Paris et plus exactement aux Lilas en Seine-Saint-Denis pour passer la soirée chez sa tente. Il  ne savait pas que sa virée parisienne allait virer au drame.

Un chirurgien dentiste algérienChirurgien dentiste algérien: le film du crime

Profitant de sa soirée, « il est sortait prendre l’air en compagnie de ses cousins après dîner » raconte sa tente sur sa page Facebook. Lui et ses compagnons ne se doutaient de rien lorsqu’un groupe de personnes, dont deux étaient arrivées en moto, se sont sauvagement attaquées à eux à l’aide des armes blanches. Le chirurgien dentiste algérien a été alors gravement blessé. A l’arrivée des secouristes, il était inconscient mais toujours vivant.

La victime a été vite transporté à l’hôpital où elle a finit cependant par succomber à ses blessures. Le décès a été constaté vers 3h du matin de samedi. La nouvelle qui a vite fait le tour de la région a bouleversé la population locale dont surtout la communauté algérienne établie à Paris.

Un chirurgien dentiste algérienChirurgien dentiste algérien: Appel à témoin lancé

Une question revient tel un leitmotiv: Qui est le mobile de cet abominable crime qui a ciblé un invité? Selon les premiers éléments de l’enquête le chirurgien dentiste algérien aura été  » victime collatérale » d’un conflit et une rivalité ancienne entre les communes des Lilas, Bagnolet et du Pré-Saint-Gervais. Les proche de la Rayane réclament que la vérité, toute la vérité soit faite sur cette agression.

Un appel à témoin a été lancé à cet effet par son frère et sa tente notamment réclamant à « toute personne ayant la moindre info (…) d’appeler le commissariat de Bobigny « 

 

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