Harragas expulsés – selon l’Agence européenne Eurostat, Environ 22 000 migrants clandestins dont des milliers d’algériens expulsés des pays de l’UE (Union européenne).
Les nouveaux nombres partagés par l’Office européen de statistique, Eurostat, mettent en avant une forte augmentation des ordres de renvoi concernant les immigrants en état illégal en Europe, avec des chiffres marquants pour l’année 2022.
Plusieurs algériens expulsés
Les rejets qui ont visé les algériens ont été surtout le fait des autorités de la France, l’Espagne, la Suisse, l’Italie et la Belgique, en 1er lieu. Il y a encore d’autres pays européens qui ont procédé aux mêmes procédures d’éloignement.
Le Bureau de l’Union Européenne a demandé aux personnes visées par ces décisions de revoir, de sortir de territoire européen. Dans un autre cas, ils seront considérés comme des résidents irréguliers de l’UE.
Les algériens renvoyés ne l’ont pas tous été ciblés de la même façon, hormis les refoulements administratifs, il y en eu des obligations de quitter le territoire, des poursuites aux frontières, des internements carrément dans des centres de rétention, avant rapatriement,……
D’après les statistiques déclarées le 05/05/2023, 422 400 personnes ont reçu l’ordre de sortir. Une augmentation de 23 %, pour partir de l’UE en 2022, contre 342 100 personnes en 2021.
Harragas expulsés : voici le premier pays chasseur de migrants
D’après Eurostat, la France est en premier du classement en termes d’ordre de refoulement, avec 135 650 personnes, suivie de la Croatie avec environ 40 525 personnes, puis de la Grèce avec 33 500 personnes, la plupart originaires du Maroc, du Pakistan et de l’Algérie.
Les données partagées par l’office désignent que près de 96 795 personnes ont été chassées en 2022, soit vers un pays européen, soit hors de l’UE.
En plus, près d’un million de personnes étaient recensées sans titre de séjour en 2022, soit une augmentation de 59 % par rapport à 2021.
Dans ces statistiques des algériens chassés, il faut indiquer que la majorité l’ont été pour des faits liés au droit commun.
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