Fraudes à la CAF

Fraudes à la CAF : gros coup dur pour les allocataires à partir de cette date

Fraudes à la CAF – chaque année, la fraude sociale coûte de plus en plus cher. Selon les chiffres dévoilés par le gouvernement, elle est estimée à 351 millions d’euros, en 2022. L’exécutif est décidé à livrer bataille. Le ministre de l’Action et des Comptes publics insiste sur la lutte contre ce phénomène.

Pour empêcher les fraudeurs d’exploiter les failles du système, l’État est dans l’obligation de mettre en place toutes les mesures nécessaires. De nombreux dispositifs existants seront renforcés dans les mois à venir.

Selon les propos tenus par le président français lors de son discours télévisé, le gouvernement s’engagera résolument dans la lutte contre toutes les formes de fraude, « avec des annonces fortes dès le début du mois de mai ».

Gabriel Attal, de sa part a annoncé qu’il dévoilerait dans les semaines prochaines « un plan complet pour faire face aux fraudes».

CAF : 49000 cas de fraude

CAF : 49000 cas de fraude
CAF : 49000 cas de fraude

La fraude sociale englobe toutes les formes de fraude exécutées contre la Sécurité sociale. Les quatre (04) branches sont concernées. À savoir la CNAV, la Caisse d’allocations familiales (CAF), l‘URSSAF mais également, l’Assurance maladie.

Selon un article publié sur yahoo.com le 19 avril 2023, en 2022, « 49 000 cas » de fraude à la CAF ont découvert « pour un préjudice total de 351 millions d’euros », soit un taux de 0,4% des sommes versées.

Fraudes à la CAF : de mauvaises nouvelles pour les allocataires

Fraudes à la CAF : de mauvaises nouvelles pour les allocataires
Fraudes à la CAF : de mauvaises nouvelles pour les allocataires

Il sera « strictement interdit de percevoir les allocations familiales, les RSA et les APL sur un compte à l’étranger », à partir du 1er juillet 2023, à l’exception des retraites.  Sachant qu’« il faudra désormais résider au moins neuf (09) mois sur le territoire français», pour bénéficier de ces allocations.

« Les Caisses de Sécurité sociale qui ont un doute sur le fait qu’un allocataire a bien résidé en France, pourraient consulter les fichiers des voyageurs des compagnies aériennes (le fichier PNR) pour confirmer quand cette personne a pris l’avion en direction du territoire français ». A expliqué le ministre des Comptes publics sur BFMTV et RMC.

RSA
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