Travailler en noir en France, c’est possible et ce n’est certainement pas les opportunités qui manquent. Gare cependant à être débusquer. L’état français ne badine pas en effet avec ce genre de pratique et des sanctions peuvent être sévères contre l’employeur et aussi contre l’employé.
Contrairement à ce qu’on peut entendre parfois, travailler en noir en France est une pratique qui est toujours de mise. Plusieurs métiers offre d’ailleurs des emploi dans ce cadre. Comme le souligne un ressortissant algérien dans un témoignage publié sur les réseaux sociaux, ce ne sont pas les offres d’embauche qui manquent. Il suffit d’une volonté de travailler pour dénicher un poste.
Selon lui, les mécaniciens, les électriciens, les coiffeurs, ou encore les boulangers et peintres ne peuvent pas chômer en France pourvu qu’ils cherchent un recrutement. Une condition est exigée cependant: être diplômé.
Travailler en noir en France: chut, ces entreprises recrutent!
Ce que ne dit pas ce jeune algérien cependant, c’est que ces » recruteurs » qui sont pour la plus part des micro entreprises, offrent parfois pour ne pas dire souvent des postes sans déclaration. Autrement dit, un travail dissimulé ou un travail en noir.
Les employés qui qui acceptent de travailler en noir en France encourent-ils une quelque sanction? La réponse est affirmative. Il faut dire cependant que ce sont surtout les employeurs qui sont sévèrement punis par la loi. Ces derniers risquent en effet une sanction pénale qui peut aller jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.
Travailler en noir en France: Le gouvernement sans pitié avec les employeurs
Pis encore la peine d’emprisonnement peut aller jusqu’ à 5 ans et l’amende à 75.000 euros si le salarié employé illégalement est une personne mineure, vulnérable ou dépendante. Des sanctions administratives peuvent également être prises contre ces employés.
Qu’en est-il donc pour les employés? A vrai dire, ces derniers sont sanctionnés de fait puisqu’ils ne bénéficient d’aucune déclaration et perd ainsi tout droit à la Sécurité sociale et auprès d’autres organismes de la protection sociale.
Travailler en noir en France: qu’en est-il des employés?
Le salarié en noir peut par ailleurs s’exposer à une procédure de sanction de la part de ces mêmes organismes sociaux. Il risque ainsi d’être appelé à rembourser les montants touchés indûment comme des prestations sociales ou des allocations chômage
Il est à souligner en outre que l’employé recruté pour travailler en noir en France a le droit de toucher une indemnité à hauteur de 6 mois de salaire lorsqu’il quitte son emploi et ce quelle que soit la raison (départ volontaire, démission, licenciement…). Le problème commet peut-il avoir cet argent?
♬ son original – La3ziz_dz